La soumission candauliste de Laurent

Laurent s’attendait à tout lorsqu’il a décidé de participer à cette soirée libertine, avec Sylvie, sa superbe épouse âgée de vingt cinq ans. Tout sauf y rencontrer Marc, son pire ennemi, venu en célibataire. En effet, un soir d’Halloween, Laurent a surpris Catie, sa première épouse, au lit avec lui. Il lui semble encore entendre jouir sa femme sous les coups de queues de Marc, il revoit le sperme s’écouler de sa bouche suite à une pipe. Il entend Catie crier son prénom, faire des comparaisons sur ses performances au lit, mais aussi sur ses mensurations plus imposantes que celles de son mari. S’en suivit alors un divorce. Sylvie ne connais pas trop le rival de son cher époux. Elle le sait dragueurs, toujours à l’affut de la moindre conquête, même mariée. Elle le trouve très séduisant, mais ne veut surtout pas tomber entre les filets de ce pervers qui n’attend qu’une chose, humilier Laurent en baisant sa deuxième femme. Les époux savent que lors de cette soirée, tout est permis, et que s’ils ne joueraient pas le jeu, en seraient exclu.

Vers minuit, des couples se forment, s’embrassent, les mains fouillent sous les jupes, ou par-dessus le pantalon. Le DJ a l’ingénieuse idée de mettre une série de slows. Et ce qui devait arriver, arriva. Marc se lève et invite Sylvie à danser. Celle-ci le rejette, mais devant les regards des autres partenaires, difficile de refuser sous peine d’être exclu de la soirée. Sylvie interroge son mari du regard sur l’attitude qu’elle doit adopter. Il lui fait signe de la tête qu’elle n’a d’autres choix que d’accepter. C’est la m o r t dans l’âme que Laurent voit son épouse gagner la piste avec son pire ennemi. Sylvie garde ses distances, résiste tant bien que mal à la pression de la main sur le bas de ses reins qui la plaque inexorablement contre Marc. Une fois la danse terminé, Marc l’invite au bar. Très vite, Sylvie va succomber au charme de ce séducteur. Elle ne voit pas son mari, certainement occupé ailleurs. Mais non, Laurent, méfiant, surveille sa femme, mais ne se doute pas de ce qu’il est en train de se passé, masqué qu’il est par une rangée de couples. Malgré tout, Il voit la tête de son épouse. Il l’a voit fermer les yeux, passer sa langue sur ses lèvres, puis ouvrir la bouche. Il ne voit pas Marc, et pour cause. Celui-ci, accroupit, à quitté la culotte de Sylvie, lui a écarté les jambes, et lui lèche la chatte.

« Tu es fou, qu’est-ce que tu me fais, souffle-t-elle ».

Laurent comprend tout quand il voit Marc se lever, s’essuyer la bouche d’un revers de main, puis quand il voit son épouse lui donner un tendre baiser. Au second slow, Sylvie est beaucoup plus détendue. Laurent voit Marc la tenir par la taille, tandis qu’elle noue ses bras autour de son cou. Il lui murmure à l’oreille, parvient à la faire rire. Il ressent un pincement au cœur quand il les voit se donner un sulfureux baiser.

Le couple se retourne et voit Laurent, les bras le long du corps. Sylvie hausse les épaules, comme pour dire » je n’ai pas le choix » alors que Marc affiche le sourire narquois de celui qui est arrivé à ses fins. Le couple va s’installer sur un canapé. Marc appuie Sylvie contre le dossier, et lui donne un baiser. Une main s’invite sous la jupe, f o r c e la jeune femme à écarter les jambes. Laurent voit le doigt de son éternel rival caresser la fente épilée de sa ravissante épouse. Ce dernier ouvre sa braguette, et sort une bite énorme, accompagné d’une paire de couilles hors norme. Laurent se sent complexé devant l’anatomie de son pire ennemi. Marc guide la main de Sylvie pour qu’elle saisisse sa queue. Après quelques vicieuses caresses, Marc entraîne Sylvie derrière un rideau ou se trouve un salon avec un lit. Après quelques minutes, la curiosité l’emporte. Laurent écarte le rideau, découvre le pire. Son épouse est allongée, entièrement nue, jambes totalement ouvertes. Marc, un genou sur le lit, est nu lui aussi. Il arbore une bite en érection de vingt centimètres.

Marc voit le rideau bouger, et aperçoit Laurent. Il décide alors de l’humilier. Lentement, il parcourt le corps magnifique de Sylvie, qui commence à frémir sous les caresses. Il excite le clitoris décalotté, les doigts pénètrent la chatte. Sylvie soupèse les couilles, tire à elle la bite qu’elle avale. Son corps se tord comme un ver sur la couche, tout en taillant une pipe à l’homme qui l’a fait gémir de plaisir. Marc tend sa bite qui se branle dans la bouche de Sylvie, tandis que celle-ci se cambre sur ses pieds. Ensemble, ils hurlent de plaisir.

Laurent, impuissant, assiste à la scène. Il voit le surplus de sperme suinter sur les lèvres de son épouse.

-Houa…quelle pipe…oh putain…tu suces mieux que son ex…et tu avales aussi…salope.

-Et toi salaud, soupire Sylvie, comme tu m’as chattée…j’ai besoin d’un bon coup de queue maintenant…par une vrai calibre, bien gros…bien raide…pas par un fifre de contre bande comme celui de mon mari…

Laurent voit l’énorme bite pénétrer la chatte pleine de mouille de son épouse. La relation est torride. Très vite, Sylvie a un puissant orgasme, hurle de plaisir sous les coups de boutoirs de son partenaire. Marc sent la femme de son pire ennemi à sa merci, multiplie les prouesses sexuelles pour la faire jouir à plusieurs reprises en présence du mari cocu. Il lui demande même de comparer les mensurations de leur sexe.

-Tu trompes ton mari là…tu aimes te le faire mettre par une grosse bite…il te baise pas comme ça…hein…

-C’est vrai…tu me niques mieux que lui…tu es beaucoup mieux monté…vas-y, encules moi…s’il te plait.

-Bien sur ma chérie…attend, je vais m’asseoir et tu t’empaleras sur mon pieu.

Marc choisi cette position car il sait que Laurent mate derrière le rideau. Il veut qu’il voit comme il lui caresse les seins, comme sa bite coulisse dans la chatte de sa femme. Soudain, le rideau s’ouvre.

-Tiens, sourit Marc, de la visite… mais c’est le cocu …regarde comme j’encule ta femme…comme ton ex…

-Mais Sylvie…que fais-tu.

-Oh mon chéri…je me fais enculer…il a une queue phénoménale…approche…viens me sucer le clitoris…

Soumis, Laurent s’avance, se penche entre les cuisses de sa femme, et aspire le petit bouton décalotté. Soudain, c’est la surprise pour Laurent. Sylvie sort la bite de son petit trou, et l’enfonce dans la bouche ouverte de son mari, juste au moment ou Marc éjacule. Sylvie tient la tête de Laurent, pour que celui-ci avale l’abondante semence de son pire ennemi.

-Ouais…vas-y mon amour…c’est bon hein…il va falloir que tu te soumettes à ses caprices maintenant.

Marc éclate de rire. Il veut aller plus loin pour humilier son rival. Il murmure à l’oreille de Sylvie.

-Mais bien sur que tu pourras le sodomiser, sourit-elle…tu vas voir comme il va être docile, n’est-ce pas chéri que tu vas être sage et obéissant, tu vas bien te le faire mettre. Et si nous rentrions à la maison.

Arrivé à la villa, Sylvie va prendre une douche. Elle entend son mari hurler de douleur.

-Ha…ha….l’enfoiré…il m’encule…dis lui d’arrêter…sa bite est trop grosse…il va me déchirer le cul…ha…ha…

-Mais non mon trésor, c’est vrai qu’il est mieux monté que toi…mais après quelques coups de queues, tu vas t’y faire…il a toute la nuit pour jouer avec toi…tu vas voir comme il va te régaler….il va te décalotter le zob, te le branler…te vider tes petites couilles…puis, une fois qu’il t’aura bien enculé, il me rejoindra pour me le mettre…mais tu pourras regarder comme il me fait jouir…comme il me fait crier de plaisir… comme je lui taille des pipes, comme j’avale…ah oui…autre chose…à partir d’aujourd’hui, je veux que tu l’appelles mon chéri…

Tous les week-ends, Marc passe niquer Sylvie, devant ses yeux. Il entend jouir, crier de plaisir. Laurent aussi à droit à son petit coup de queue, c’est même lui qui supplie son rival en l’appelant mon chéri, pour qu’il lui donne sa dose. Marc prend plaisir à l’enculer, ou à se faire tailler des pipes. En plus, il l’oblige à avaler.

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